Grandvaux, Malvaux, au fil de l’eau
Saint-Laurent-En-Grandvaux

Grandvaux, Malvaux, au fil de l’eau

Histoire et Patrimoine
Lacs, rivières et cascades
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Tantôt calme, tantôt tempétueuse, l’eau vous guide à la découverte de reliefs si particuliers.
Un voyage au cœur de l’eau… De lacs en grottes, cascades et paysages majestueux… Découvrez les trésors cachés de ce parcours dédié à l’eau et la géologie. Traversez les âges, faites un bon depuis les traces des glaciers de l’ère Quaternaire, jusqu'à la vie animée aujourd'hui par la faune de sites naturels préservés.
Cet itinéraire Jurassic Vélo Tours ne dispose pas de balisage sur le terrain.
Soyez prudents ! Compte tenu de la traversée d'un ancien tunnel ferroviaire relativement long et de la durée du parcours, prévoyez une lampe ou un éclairage ainsi qu'une batterie de secours....

Les 23 patrimoines à découvrir

  • Histoire et Patrimoine

    Les Moulins porteurs d'histoire

    Apparus au Moyen-Age, les moulins ont d'abord eu pour fonction de moudre le grain. Peu à peu, ils furent utilisés pour extraire l'huile, souffler la forge, marteler le fer, scier le bois, tanner les cuirs... L'utilisation de la roue motrice verticale se généralisa, et les systèmes d'engrenages démultiplièrent la puissance et le rendement. Pour fonctionner, les moulins se contentaient désormais du moindre cours d'eau et s'installaient aux abord des plus petites rivières comme içi et comme au long de la Lemme. (PNRHJ - Collection patrimoine)
  • Lacs et Rivières

    Le belvédère du Châtelet

    La lemme et ses affluents ont, à cet endroit, fait l'objet d'un vaste chantier de restauration écologique en 2012 pour permettre au marais du Chatelet de retrouver son rôle de régulateur naturel de cours d'eau.

    Un panneau d'interprétation explicite les dysfonctionnements hérités des aménagements passés, présente les travaux de restauration et leurs bénéfices, et enfin, quelques espèces de faune et de flore attachées à ce milieu.
  • Lacs et Rivières

    Le belvédère du Chatelet

    La lemme et ses affluents ont, à cet endroit, fait l'objet d'un vaste chantier de restauration écologique en 2012 pour permettre au marais du Chatelet de retrouver son rôle de régulateur naturel de cours d'eau.

    Un panneau d'interprétation explicite les dysfonctionnements hérités des aménagements passés, présente les travaux de restauration et leurs bénéfices, et enfin, quelques espèces de faune et de flore attachées à ce milieu.
  • Lacs et Rivières

    La Cascade du Saut de la Lemme

    Régalez vos yeux de ce joli «saut», une des cascades qui dévalent la Lemme. Longez l’hôtel-restaurant jusqu’au parking pour accéder au point de vue et au panneau d’interprétation (en restant prudent.e avec la circulation automobile). Replongez-vous dans l’histoire du lieu, à l'époque antique des Séquanes, peuple celte, et de l'Empire romain. A la place de l’actuel restaurant se dressait un fort romain qui contrôlait le passage sur la Lemme, par un pont en pierre à huit arches. Observez-bien: on en voit encore les vestiges. Cette voie romaine servait entre autres de route du sel pour le commerce du sel du Jura entre Séquanes et Helvètes, depuis les salines de Lons-le-Saunier, Salins-les-Bains, etc. jusqu’à Saint-Claude et la Suisse.
  • Sommet - Point de vue

    Belvédère des 4 Lacs

    Posez pied à terre au parking du belvédère et rejoignez le point de vue en 5 minutes à pied. Arrivé au sommet, vous embrassez d’un regard l’immensité bleue et verte qui s’ouvre devant vous. Admirez les 4 lacs, issus de la dernière glaciation, couchés dans leur lit de prairies et forêts… Enchanteur! D’ailleurs, connaissez-vous la légende du lac de Narlay ? Il recouvre, dit-on, l’emplacement d’un village englouti par les eaux. «Un soir de Noël, en vain, une fée implora l'asile pour la nuit auprès de tous les habitants, mais seul le plus pauvre d'entre eux lui offrit un refuge. De colère, le lendemain, la fée noya le village entier, à l'exception de la demeure de son hôte située à l'extrémité du lac. Le nouveau village de Narlay se reconstitua autour de la maison épargnée, mais, tous les ans à Noël, le coq du village englouti chante les douze coups de minuit». Le point rando Une prochaine fois, poursuivez le chemin qui mène au belvédère jusqu’au pic de l’aigle: vous rejoindrez un splendide point de vue à 360° (compter 1h30 aller-retour).
  • Histoire et Patrimoine

    Ancien relais de diligence

    Cette imposante bâtisse construite en 1789, au toit brisé dit «à la Mansart», comporte deux étages de granges et deux étages de caves. Les relais devaient pouvoir accueillir un nombre important d’attelages. Pour les rouliers (voituriers - transporteurs) grandvalliers, qui travaillaient à leur compte ou pour celui de Maisons de roulage, les relais étaient d’indispensables haltes. À l’apogée du roulage, au milieu du 19ème siècle, les Maisons de roulage comme la célèbre Maison Bouvet, établirent leurs propres relais dans les villes importantes.
  • Lacs et Rivières

    Sentier des Gorges de la Langouette

    Au départ de l'église, la fée Langouette vous accompagne le long de ce sentier jalonné de panneaux d’interprétation pour percer les secrets de ces mystérieuses cascades et gorges de la Langouette, et admirer au plus près la beauté sauvage de ce canyon creusé par la Saine.
  • Lacs et Rivières

    Seuils et continuité écologique

    De nombreux obstacles, seuils ou barrages, ont été construits de longue date dans les cours d’eau pour bénéficier de leur énergie hydraulique. La plupart d’entre eux n’a désormais plus d’usage et perturbe toujours le transport naturel des sédiments de la rivière et le déplacement des poissons. Par l’absence d’entretien, ils font peser des risques importants de déstabilisation des infrastructures voisines. La connaissance du fonctionnement des cours d’eau s’est aussi fortement améliorée, incitant les gestionnaires à tendre vers un fonctionnement plus naturel des cours d’eau en aménageant ou démontant les seuils inutilisés.
  • Cascades

    Cascade du bief de la Ruine

    Jaillissant d’une source à plus de 1000 mètres d’altitude, uniquement après de fortes pluies, la cascade du Bief de la Ruine vous réserve un spectacle harmonieux entre l’œuvre de l’Homme et de la nature. Le viaduc oriente le regard vers la danse de l’eau sur la pierre, qui s’insinue naturellement entre les piles du pont.
  • Histoire et Patrimoine

    La voie du tram

    Au début du XXe siècle, la montagne jurassienne s’est équipée de 400 kilomètres de voies ferrées métriques complétant les grands axes d’intérêt général comme la ligne Andelot-La Cluse. Sur ces voies étroites, «le Tacot» transportait, été comme hiver, les biens et les personnes. La première liaison, Lons - Saint-Claude, est ouverte en 1898, Champagnole à Foncine-le-Bas par les Planches-en-Montagne en 1924 pour fermer en 1950. Les tacots sont bénéficiaires jusqu’en 1927. Puis pannes, déraillements, retards ainsi que l’essor de l’automobile scellent le sort du «petit train» en 1958 par la fermeture de la ligne Morez - les Rousses – La Cure. En cinquante ans, par leurs échanges et leurs ouvrages, les tacots auront marqué les mémoires jurassiennes et contribué à forger un patrimoine à l’image des viaducs des gorges de Malvaux.
  • Histoire et Patrimoine

    Le viaduc des Douanets

    Les voies métriques devaient faire l’économie d’ouvrages d’art. Mais dans une région accidentée, les viaducs étaient le seul moyen de franchir rivières, gouffres et précipices. La ligne Clairvaux - Foncine a fonctionné de 1907 à 1939; les voies ont été démontées sous l’occupation.
  • Histoire et Patrimoine

    Foncine-le-Bas

    Dans le secteur de Grandvaux-Malvaux, carrefour de routes importantes entre Saint-Claude, Genève, Lons le Saunier, et Besançon, l’image des rouliers et des voituriers a longtemps symbolisé l'ouverture commerciale du teritoire. A Foncine-le-Bas, cette tradition se manifeste par la présence de la voie du tram, entre Clairvaux-les-Lacs et Foncine, qui a entraîné la construction du viaduc des Douanets et d’une petite gare. Ces infrastructures ont représenté une opportunité pour les entreprises locales dont l'implantation étaient liée à l'utilisation de la force motrice de la Saine qui traverse le village à Foncine-le-Bas.
  • Histoire et Patrimoine

    La légende de la Dame du lac

    Les pays de lacs sont hantés par de nombreuses légendes: fées, cavaliers et sorcières flottent au-dessus de leurs eaux mystérieuses. Plusieurs légendes sont à l’origine du nom du «lac à la Dame». L’une d’entre elle dit que ce petit lac a été creusé par le mystérieux cavalier qui errait au dessus des lacs de Bonlieu, des Maclu et de Narlay, à la demande d’une femme dont il était amoureux. En échange de cette faveur, elle se donnerait à lui corps et âme. Par temps brumeux, peut-être apercevrez-vous flottant sur le lac la longue robe blanche de la Dame!
  • Histoire et Patrimoine

    Les larmiers du chalet

    Destinés à la ventilation du "laitier", pièce où le lait était mis à refroidir avant sa fabrication en fromage, les larmiers sont des ouvertures verticales étroites et longues que l'ont peut observer sur les façades des anciennes fromageries comme içi aux Monnets.
    Au hameau du Coin d'Aval, sur la commune de Fort-du-Plasne, se visite en été un ancien chalet (ou fromagerie). 
  • Milieux naturels

    La tourbière : un puits de carbone

    La prise de conscience de la nécessité de protéger les tourbières est récente. Ces milieux fragiles jouent un rôle important dans le maintien de la qualité de l’eau et permettent de lutter naturellement contre les effets de la sécheresse et du changement climatique. En effet, les plantes captent le dioxyde de carbone (CO2) de l’air par la photosynthèse pour former leurs tissus: feuilles, tronc, tiges etc. À leur mort, elles sont dégradées par les micro-organismes des sols et restituent le carbone à l’atmosphère. Mais dans une tourbière la présence de l’eau empêche les organismes décomposeurs de travailler, ce qui piège le carbone dans la tourbe. Les tourbières ne représentent que 3% de la surface des terres émergées, mais stockent 30 % du carbone des sols terrestres!
  • Flore

    La linaigrette

    La linaigrette, sorte de coton-tige au plumeau blanc, se repère facilement dans les tourbières. Ses racines longues d’un mètre lui permettent de stocker des réserves nutritives, car le sol est très pauvre en minéraux. C’est une plante adaptée à un climat boréal (froid). Elle était répandue dans toute l’Europe il y a quelques milliers d’années. Puis le climat s’est réchauffé; elle n’a survécu que dans les pays scandinaves et dans les tourbières, où aucune autre n’est capable de lui disputer sa place.
  • Flore

    Caractéristiques de la flore des tourbières

    Les espèces vivant dans les tourbières se sont adaptées à l’omniprésence de l’eau, aux faibles ressources nutritives, à la composition chimique du sol, qui, dans les régions calcaires, peut être acide ou basique et à un climat plutôt froid.
  • Histoire et Patrimoine

    La voie du tram

    Ouverte en 1907, la voie du tram qui passait au Lac des Rouges Truites, et sur laquelle vous vous situez, reliait Clairvaux-les-Lacs à Foncine-le-Haut et désservait Saint-Laurent-en-Grandvaux.

    Comme l'ensemble des voies de tram jurassienne, déficitaire et concurrencée par le développement des services d'autocars et de l'automobile, elle ferma en 1938.

    Saurez-vous repéré l'ancienne gare du hameau des Thévenins à votre retour au Bugnon ?
  • Milieux naturels

    Prairie humide

    La périphérie des tourbières est ici encore pâturée. Ces prairies humides, caractérisées par une présence importante d’eau dans le sol, sont également très riches pour la biodiversité. Certaines fleurs, comme par exemple la Primevère farineuse, s’y plaisent particulièrement. Ce sont aussi des zones de transition entre le reste de la vallée et la tourbière, le lac et la rivière. Elles filtrent l’eau dans le sol en éliminant les nitrates, ce qui limite la pollution des nappes phréatiques. Leur présence est donc essentielle pour le bon maintien d’une tourbière
  • Histoire et Patrimoine

    Le mystère des Rouges Truites

    La rumeur a donné naissance à quatre versions pour tenter d'expliquer l'origine du nom Lac des Rouges Truites :
    • Poétique : chaque soir, lorsque le soleil se couche, les truites prennent la couleur pourpre de ses reflets sur le lac.
    • Pratique : les truites y sont saumonnées.
    • Physique : l'eau contiendrait de l'oxyde de fer.
    • Militaire : le lac aurait été le terrain d'une bataille sanglante.
    Le lac s'endort chaque jour, emportant avec lui, comme une petite musique, le mystère de son nom. Peut-être à l'origine d'un air de Schubert ?
  • Flore

    La forêt du Mont Noir

    Avec ses 1873 hectares, le massif du Mont-Noir est l’une des plus grandes forêts jurassiennes. Elle est essentiellement constituée d’arbres aux feuillages sombres, tels que le Sapin, l’Épicéa et le Hêtre, d’où l’origine de son nom. Cerfs, sangliers et chevreuils y cohabitent avec le Lynx et le Grand Tétras. L’exploitation du bois est une activité économique importante pour nos montagnes. La forêt accueille aussi des randonneurs qui effectuent de longues marches sur ses sentiers balisés. Partagez cet espace et restez prudents si vous croisez des exploitations forestières.
  • Milieux naturels

    Vue sur la tourbière du lac des Rouges Truites

    Héritière des glaciers qui couvraient le Jura il y a dix mille ans ayant laissé des moraines aux fonds imperméables, une tourbière se forme lorsque ces fonds se remplissent d'eau stagnante, peuplés de végétaux résistants au froid. Le sol mouvant des tourbières est un épais tapis de sphaignes, sur lequel quelques plantes particulièrement adaptées peuvent croître (canneberge, linaigrette, andromède, drosera, pin à crochet...). L'intérêt biologique rend donc important la préservation de ces milieux fragiles.
  • Histoire et Patrimoine

    Voie du tram

    Au début du 20ème siècle, la montagne jurassienne s’est équipée de 400 kilomètres de voies ferrées métriques complétant les grands axes d’intérêt général comme la ligne Andelot-La Cluse. Les voies de tram, serpentant entre les rivières, les gouffres, les précipices ou les crêts, ont marqué la mémoire jurassienne ainsi que son paysage par les aménagements et les infrastructures, parfois spectaculaires, qui en ont découlé comme le viaduc des Douanets à Foncine-le-Bas.

Description

Depuis l'office de tourisme, remonter la Rue de Genève sur votre gauche puis tourner par deux fois sur votre droite pour emprunter la Rue du Coin d'Amont, derrière l'église et suivre celle-ci jusqu'au bout. Après la sortie du village, emprunter la passerelle au-dessus de la N5 et continuer sur la même route forestière bitumée jusqu'au hameau Vers les Moulins.

Passer le pont sur la Lemme puis tourner à gauche.

Aux ruines du Moulin d'Hylarion, continuer sur la route et rejoindre le Châtelet (ancien centre de vacances qui est désormais une école).

À la patte d'oie après l'école, tourner à gauche puis après 300 m, prendre un petit chemin la droite, direction Chez Mayet.

Au hameau "les Gros Louis" (indiqué "le Saut" sur la carte IGN), prendre deux fois à droite. À la route transversale, partir à gauche et retrouver la N5.

En face de vous se trouve un ancien hôtel-restaurant au bord duquel une plateforme a été aménagée avec un beau point de vue sur la Lemme.
Suivre la N5 à gauche, passer la Lemme, atteindre rapidement l'ancien restaurant "Le Pont Romain" et une route forestière à droite.

Tourner à droite sur la route forestière, surplomber provisoirement la voie ferrée puis traverser la forêt jusqu'à l'approche de la cabane forestière du Prélet.

Virer à angle aigu à droite sur la Route Forestière du Lignon.

Traverser le Dombief, prendre la première route à gauche et rejoindre le hameau de la Boissière.

Traverser le village puis, avant le hameau des Rollets, poursuivre à droite sur la Route Forestière du Bois de Ban, jusqu'au parking du Belvédère des Quatre Lacs.

Un sentier sur la gauche permet d'accéder au belvédère des Quatre lacs et au Pic de l'Aigle. Continuer sur la route forestière. Au croisement de routes suivant, partir à gauche et atteindre la N5 au hameau du Cernois.

Partir à gauche puis tourner à droite en face de la ferme isolée, au pied de la Falaise du Rachet, site d'escalade du Morillon.

Poursuivre sur le chemin carrossable à gauche, le long de la Lemme, jusqu'au Pont de la Chaux. Dépasser la gare et le restaurant, traverser avec prudence la D16 et emprunter la voie communale en face. Rejoindre le hameau La Tépette.

Emprunter les voies parallèles à la D16, Rue de la Tepette puis Route du Chavon, pour arriver à l'entrée du village de Chaux-des-Crotenay.

Remonter sur la gauche la Grande Rue, et suivre la 2e à droite, Route d'Entre-deux-Monts, jusqu'en contrebas du village.

200 m avant l'église, prendre le large chemin blanc sur la gauche qui permet de traverser la combe et atteindre l'intersection avec la D16.

Traverser la route avec prudence, suivre la D127E1 quelques mètres et s'engager sur le sentier à droite. Descendre à travers la forêt puis une pâture avant de retrouver la route.

Partir à droite, Rue de la Langouette puis suivre la direction des Gorges de la Langouette à droite. Passer un ru et prendre, juste avant le panneau de sortie d'agglomération de Montliboz, le Chemin des Cascades à droite. Rejoindre les Planches-en-Montagne

Tourner à gauche devant le cimetière, traverser le pont au dessus de la Saine et longer l'église.

Juste après celle-ci, au poteau directionnel "les Planches-en-Montagne", suivre la Ruelle du Lavoir à droite, balisage Blanc/Rouge, direction de Foncine-le-Bas. Poursuivre le long de la voie du tram, ancienne ligne ferroviaire, avec à main droite la Saine.

Observer sur la gauche la Cascade du Bief de la Ruine et traverser un tunnel en arc de cercle, se munir d'un éclairage. Poursuivre le long de la Saine.

À l'arrivée de la voie du tram, traverser le pont puis rejoindre Foncine-le-Bas.

Emprunter la Route de Champagnole à droite sur 150 m puis la traverser pour bifurquer à gauche sur la D62, direction de Fort-du-Plasne. Rejoindre la première route bitumée sur la droite.

Suivre celle-ci, Chemin du Lac de la Dame, direction les Fumey. Contourner le Lac à la Dame et remonter ensuite de nouveau sur la D62.

Prolonger sur celle-ci et rejoindre le village de Fort-du-Plasme.

Prendre le chemin carrossable à gauche juste avant les premières maisons du village. Rouler entre le lac de Fort-du-Plasne et sa zone humide.

Au hameau Les Voigneurs, tourner à droite et suivre la route jusqu'au hameau le Maréchet.

Tourner à droite sur la D437 puis s'engager sur la première route goudronnée à gauche. Traverser le petit pont et au poteau directionnel de randonnée "le Maréchet", suivre le chemin à droite, balisage Jaune en direction de "la Gare". Aller tout droit à chaque bifurcation et atteindre la D437.

Partir à gauche, passer le panneau d'entrée d’agglomération de Lac-des-Rouges-Truites et longer le bâtiment de l'ancienne gare à main gauche.

Juste après celle-ci, quitter la D437 et s'engager sur la route secondaire à gauche. Garder la gauche jusqu'au Domaine du Bugnon. Possiblilité de faire une pause, boire un verre ou recharger une batterie.

Continuer sur la même route forestière jusqu'au croisement à quatre routes, poteau de randonnée "Les Quatre Chemins".

Continuer à droite, suivre le balisage Jaune et rejoindre un lotissement par une route forestière. Le dépasser de quelques mètres et trouver à gauche le départ de l'ancienne voie du tram, actuellement chemin blanc.

Suivre celui-ci et continuer tout droit à chaque bifurcations.

À la sortie de la voie du tram, quelques mètres avant la D437, en face du poteau "la Halte des Martins", Virer à gauche et rester sur le parcours enherbé parallèle à la route. Dépasser, sur à droite, l'ancienne halte ferroviaire et retrouver une petite route bitumée à emprunter, en face, sur quelques dizaines de mètres.

À l'intersection, aller tout droit puis s'engager rapidement à droite, Chemin du Carlaton (limité à 3,5t). Rejoindre le hameau de la Savine et la N5.

Traverser la N5 par un passage souterrain aménagé à droite. En face de la fontaine, emprunter le chemin blanc du milieu qui démarre entre la Route des Gyps et le Chemin sous la Savine. La voie du tram mène au quartier des Pésières à Saint-Laurent en Grandvaux

À l'intersection avec la Rue des Pésières, tourner à droite et rouler jusqu'à la Rue de Genève.

Tourner à gauche et remonter la Rue de Genève par la voie cyclable aménagée sur le trottoir, jusqu'à l'Office de Tourisme.
  • Départ : Saint-Laurent-en-Grandvaux (office de tourisme)
  • Arrivée : Saint-Laurent-en-Grandvaux (office de tourisme)
  • Communes traversées : Saint-Laurent-En-Grandvaux, Lac-Des-Rouges-Truites, Fort-Du-Plasne, La Chaumusse, La Chaux-Du-Dombief, Entre-Deux-Monts, Chaux-Des-Crotenay, Les Planches-En-Montagne et Foncine-Le-Bas

Météo


Profil altimétrique


Zones de sensibilité environnementale

Le long de votre itinéraire, vous allez traverser des zones de sensibilité liées à la présence d’une espèce ou d’un milieu particulier. Dans ces zones, un comportement adapté permet de contribuer à leur préservation. Pour plus d’informations détaillées, des fiches spécifiques sont accessibles pour chaque zone.

Site RAMSAR Tourbières et lacs de la Montagne jurassienne

Le site s’étend entre les villes de Pontarlier et Saint-Claude, dans le massif du Jura. Dénommé « Bassin du Drugeon » lorsqu’il fut inscrit en 2003, le site a été agrandi en 2021 pour passer de moins de 6000 hectares à plus de 12 000 ha. Il comprend maintenant de vastes tourbières emblématiques telles que celles du bassin du Drugeon, les vallées du haut Doubs et de l’Orbe et la vallée de Chapelle-des-Bois et Bellefontaine. Ses 18 lacs et 2000 ha de tourbières représentent environ 40 % de toute la zone tourbeuse du massif du Jura. Le substrat calcaire favorise la juxtaposition de tourbières alcalines et acides, ce qui, dans ces dimensions, est unique en France. Le site offre de nombreux habitats importants pour une diversité d’espèces protégées au niveau national ou international, des plantes et champignons aux libellules, papillons, poissons, oiseaux, amphibiens et reptiles. Les deux tiers de la population nationale de bécassines des marais (Gallinago gallinago) y nichent et le site est aussi une frayère importante pour le grand brochet (Esox lucius), le lavaret (Coregonus lavaretus), la truite lacustre (Salmo trutta) et l’écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes). Les habitats tourbeux ont été, autrefois, profondément modifiés par l’exploitation de la tourbe, le développement forestier et les activités agricoles mais des mesures de restauration des tourbières ont été appliquées avec succès. Cependant, le site est encore très sensible aux sécheresses et à la pollution provenant des terres agricoles environnantes. 
Domaines d'activités concernés :
Aquatique, Manifestation sportive
Périodes de sensibilité :
janv.févr.marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.oct.nov.déc.
Contact :
Parc naturel régional du Haut-Jura
29 Le Village
39310 Lajoux
03 84 34 12 30
www.parc-haut-jura.fr/

APPB Ecrevisse À Pattes Blanches Et Faune Patrimoniale Associée (39)

Cet arrêté permet d’une part de localiser les sites concernés et d’autre part, de réglementer, dans ces sites, certaines activités afin de préserver le biotope naturel de l'écrevisse à pattes blanches et de la faune patrimoniale associée.
Domaines d'activités concernés :
Aquatique, Manifestation sportive
Périodes de sensibilité :
janv.févr.marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.oct.nov.déc.
Contact :
DREAL Bourgogne-Franche-Comté
Cité administrative VIOTTE
5 voie Gisèle Halimi - BP 31269
25005 BESANÇON CEDEX
Tél : 03 39 59 62 00

Accès routiers et parkings

Se rendre dans le centre de Saint-Laurent-en-Grandvaux où vous trouverez un parking derrière l'office de tourisme.

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